La Chambre DHôte. 3/3
Jarrivais à la fin de mes vacances. Et quelle vacances, javais le soleil du sud et deux femmes à disposition que je baisais pratiquement quand jen avais envie. Tantôt Virginie, plus expérimentée, sauvage, avide de sexe. Tantôt Sarah, jeune, fougueuse, à la fois soumise et directive, et qui me faisait bander très dur à chaque fois. Jallais déjà avoir de bons souvenirs de ces vacances, mais cétait sans compter sur la petite surprise de départ quelles mavaient concocté. Pendant le diner, la veille de mon départ, Virginie mavoua que Sarah nétait pas sa fille mais sa belle-fille, mais quelle la considérait comme sa fille et la présentait toujours comme telle. Pourquoi ? Me direz-vous, mavouait-elle cela. Je pense que cest pour être moins choqué par la proposition quelle allait me faire.
- Tu pars demain et Sarah et moi, voulions que tu gardes un souvenir encore meilleur de nous deux.
- Mais tu sais jai déjà de très bons souvenirs, de très, très, bons même.
- Tu sais que nous vivons seules ici ?
- Oui en effet.
- Eh bien tu vois les longues soirées dhiver, quand il fait froid, on se blottit lune contre lautre pour se réchauffer. Et un jour nous sommes allées un peu plus loin.
- Non, jy crois pas, vous deux ?
- Oui, nous deux et nous avons aimez ça, alors de tant en tant quand on na pas de mecs sous la main, on samuse ensemble.
- Donc si je comprends bien, votre surprise cest
Je ny crois pas
- Tu as compris, je te propose quon commence toute les deux et après quand tu seras fou de désir on viendra soccuper de toi.
- Wow, je mattendais pas à ça, cest les vacances les plus génial que jai passé croyez moi.
Elles se levèrent de table, me demandant de les rejoindre dans la chambre de Virginie dans vingt minutes, le temps quelles se préparent. Je trépignais dimpatience, je les avais déjà pour moi chacune leur tour et cétait géant, mais là les deux ensembles, je nosais imaginer le bonheur que ça pouvait être.
- Entre, nous sommes prêtes.
Jentrai, la chambre était assez grande, un grand lit avec à coté un fauteuil ou Virginie me demanda de masseoir. Jy allais, ne pouvant détacher mon regard des deux beautés en face de moi. Elles sétaient parées pour la circonstance. Sarah portait une robe rouge très courte sans manches, ses jambes étaient gainées de bas noir et elle portait de hauts talons rouges également. Virginie quant à elle, portait une combinaison moulante en cuir noir et de grandes bottes qui montait jusquaux genoux. Sa combinaison avait une fermeture sur le devant qui nétait pas fermer à fond bloquant sur le décolleter plongeant quelle offrait tellement ses seins étaient mouler sous ce cuir. Je restais bouche ber dans le fauteuil, mes yeux inondés dimages lubrique qui me venait à lesprit.
- On te plait ? demanda Virginie.
Je narrivais pas à parler je fis un signe de la tête, elles se mirent à rire, contente de leffet quelles avaient surement cherché à provoquer. Virginie se mit derrière Sarah, passa ses mains autour de sa taille la planquant sur elle, puis glissa son visage à travers les boucles blondes pour atteindre le cou de Sarah, quelle commença à embrasser et titiller avec le bout de sa langue. Remontant doucement sur sa joue, Sarah compris et tourna la tête pour atteindre les lèvres de Virginie. Sen suivi un long baiser, ou les deux femmes se dévorèrent les lèvres et sucèrent leurs langues avec passion. De mon côté je commençais à être serré dans mon slip. Virginie monta une main vers mes petits seins préférer de Sarah, commença à les masser, les presser et les pincer à travers la robe pendant quelle lembrassait avec fièvre. De petits gémissements commençaient à fuser dans la pièce. Sarah mis ses mains sur le cuir chaud et lisse de Virginie, lattrapant par les fesses, elle plaqua sa chatte sur son petit cul rond mouler sans cette robe rouge. Elles se frottèrent un moment lune contre lautre, la respiration haletante, les ronronnements de chattes légèrement étouffés par leur baiser fougueux à présent.
- Je tiens déjà plus les filles, jai la queue si serré dans mon slip.
- Alors sort là, quon la voit se dresser ça va nous exciter encore plus. Mais attention tu nas pas le droit de te toucher.
Je mexécutais, sorti mon membre droit comme un « i » tendu à mort par le spectacle quelles me proposaient. Virginie fit glisser la fermeture éclair de la robe dans le dos de Sarah, puis ce fut le tour de la robe qui glissa à ses pieds. Face à face, Sarah embrassa goulument Virginie, descendit sur son menton, son cou, pour finir dans le décolleter plongeant, léchant les seins comprimés dans la combinaison moulante. Puis elle leva la tête souris à Virginie et fit glisser également la fermeture éclair, libérant la poitrine nue et ferme pointant en direction de Sarah. Virginie sassis sur le lit pour que Sarah puisse tirer sur ses bottes, puis sur la combinaison qui résista un peu, enfin elle remit les bottes se doutant quelles étaient du plus belle effet sexy sur ses jambes.
Elles se retrouvèrent donc juste parées de botte, de hauts talons et de bas (pour Sarah), nues allongées sur le lit. Sarah se mit sur Virginie, commença à manger ses seins, roulant ses tétons sous sa langue, les mordants, extirpant des gémissants de plaisir à sa partenaire. Elle descendit lentement, faisant glisser sa langue sur son ventre. Arrivé au-dessus de sa chatte, elle commença de petits bisous tout autour, à peine appuyé, faisant le tour dune cuisse à lautre.
- Ne me fait pas attendre, mange là.
- Et oui, dit je impatient également, mange là.
Et la bouche de Sarah sengouffra dans lentre jambe, Virginie se cambra, électrisé par la bouche qui dévorait ses lèvres, son clito et la langue qui fouillait ses chairs. Elle la mangea un moment, mais ne la fit pas jouir, non pas encore. Elle remonta sa bouche sur le ventre, entre les seins, dans le cou, pour retourner embrasser Virginie dans un mélange de salive et du délicieux jus de son excitation. Pendant quelle lembrassait, Sarah glissa la main sous loreiller et en sortit un gode. Elle le fit sucer à Virginie, puis elle le suça également, pour enfin frotter le bouton de Virginie avec. Elle frottait, frottait encore, sapprochant de plus en plus de lentrée luisante à souhait et elle finit par y engouffrer le gode, suivi par un grand cri de bonheur de Virginie sentant lengin la pénétrer enfin. Sarah agitait le gode avec vigueur, Virginie se tortillait, gémissait, se cambrait sous les assauts du manche artificielle, tandis que la bouche de sa jeune partenaire continuait son voyage entre ses seins et sa bouche, extirpant des gémissements, des cris pour finir par un orgasme ravageur les cuisses serrées sur la main de Sarah le gode encore à lintérieur.
- Hummm ma chérie, il était divin cet orgasme, jimaginais la queue de Patrick qui me fourrait en la regardant si tendue.
- Cest vrai quil est tendu le pauvre, on sen occupe en peu ?
- Allons-y.
Elles se mirent à quatre pattes devant moi, sapprochant avec grâce comme deux petites chattes. Lune saisit ma queue, lautre mon bermuda et mon slip et les enleva pendant que je retirais mon t-shirt. Je sentais deux langues monter et descendre le long de mon membre, cétait si bon, je ne métais jamais fait sucer par deux femmes en même temps. Puis lune après lautre elles prenaient mon gland en bouche, le suçait, laspirait. De temps à autre, javais le gland coincé entre leurs lèvres qui se frôlaient et leurs langues qui titillaient chacun un côté.
Elles finirent de nettoyer mon engin enfin apaisé et sembrassèrent goutant le sperme sur leur langue respective.
- Bon, vous avez jouis tous les deux à mon tour maintenant, dit Sarah impatiente de gouter au plaisir elle aussi.
Jallais me lever pour participer, quand Virginie me repoussa dans le fauteuil.
- Pas encore, cest à moi de la faire jouir.
Je ninsistai pas, heureux de les voir à nouveau en plein ébats. Cette fois cest Sarah qui se mit sur le dos, Virginie commença à sucer ces petits seins en poire, ce qui me fit bander à nouveau. Elle les mordait, tirait dessus avec ses dents sous les gémissements de la belle blonde. Une main soccupait de sa chatte la frottant, sattardant sur le clito, tirant sur les lèvres elles aussi gonflées de plaisir. Puis un doigt sinsinua dans le con qui ne demandait que ça, puis deux doigts, puis trois. Sarah se cambrait, se tortillait à son tour comme lavais fait Virginie sous les assauts de la jeune femme. Elle sarrêta, les deux mains de chaque côté de la tête de Sarah juste au-dessus delle et lembrassa vigoureusement. Une main glissa sous lautre oreiller, elle sorti un gode ceinture. Jen croyais pas mes yeux, cétait plus que je naurais espérer. Une fois le gode en place, elle le plaça à lentrée du volcan de Sarah, brulant et faisait couler sa lave sur les draps, il nallait pas tarder à entrer en éruption. Elle cria violemment quand le gode lemplit dun coup sec jusquau fond. Puis Virginie commença les allers-retours extirpant des gémissements de plus en plus fort ainsi que des cris de plaisir de la bouche pourtant si menue de la jeune demoiselle. Elle se cambra, submergé par lorgasme bon et violent qui la traversa le souffle coupé, un silence, puis dans un long râle de bonheur et retomba sur le lit apaisée. Cest là que je compris que les femmes savaient se donner plus de plaisir quun homme le pouvait et je me demandais ce que je pourrais leur procurer après ça.
Elles sétaient mises sur le dos toutes les deux, Virginie avait enlevé le gode ceinture et elles mavaient laissé une place entre elles, me faisant signe de la main de les rejoindre. Je ne me fis pas prier. Jétais assailli de toutes parts par des baisers sauvages, des mains qui couraient sur mon corps, sur ma bite. A ce stade les préliminaires nétait pas de mise, alors Virginie vint sempaler sur moi, elle navait plus un poil de sec au-dessus de sa grotte. Cétait bon de la sentir coulissé jusquà ce quelle soit assise sur mes cuisses et encore meilleur quand elle commença à monter et descendre sur mon chibre encore humide de leur salive et de mon sperme de toute à lheure. Pendant quelle baisait ma queue, Sarah alternait entre Virginie et moi pour nous donner sa langue à sucer ou ses petits seins adorables. Je sentais le plaisir monter pour ma cavalière, elle commençait à se cambrer en arrière respiration rapide et saccader, pour finalement jouir serrant et inondant ma queue de son jus chaud finissant de trempée mes poils également. Elle se redressa membrassa, se retira de ma queue, toujours raide. Et jentendis.
- Viens pars là maintenant.
Cétait Sarah, les cuisses grande ouverte, qui attendait son tour. Elle se frottait le bouton, sa chatte luisait comme le verre au soleil.
- Prend moi fort, comme une bête, défonce moi, je veux que tu te déchaine en moi.
La petite garce allait prendre chère, je mallongeais sur elle, pesant de tout mon poids, la fourrant jusquaux couilles, elle cria. Jallais et venait, mon torse frottant ses petits seins, soufflant dans son cou comme une bête, mon bassin donnait de grands coups, la poussant de plus en plus vers la tête du lit. Elle nen pouvait plus criait de plaisir, me demandant de la baiser encore plus fort. Cétait trop, je sortis ma bite, je criai quand de longs jets de foutre inondaient son petit ventre jusquà son visage magnifique et souriant. La garce avait dompté la bête.
Nous restâmes allonger un moment, silencieux, épuisé. Puis je retournai dans ma chambre prendre une douche et me reposer, javais de la route à faire le lendemain.
Après un petit déjeuner copieux, je dis au revoir à mes belles, jurant de repasser les voir à loccasion ou pour des vacances qui sait. En tout cas, ces vacances resteront gravées dans ma mémoire.
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